le tout est plus que la somme des parties

Cest à partir de lui que les penseurs et scientifiques arabes et occidentaux du Moyen Âge jusqu’au XVIIe siècle se déterminent. - Père de la logique et de la métaphysique, Aristote est aussi le père de la biologie (du moins le père de la zoologie, si l’on considère Théophraste comme celui de la botanique). Enoutre, il note que « le tout est également moins que la somme des parties car les parties peuvent avoir des qualités qui sont inhibées par l'organisation de l'ensemble » . Le principe est le suivant : le tout est composé de parties et est supérieur à la somme de ses parties, étant sui generis (au sens durkheimien ), il est donc une unité. LETOUT EST PLUS GRAND UE LA SOE DE SES PARTES Comment une approche pangouvernementale de la lutte contre les changements climatiques peut améliorer la performance climatique du Canada. 6. Approche pangouvernementale. Les changements climatiques constituent un problème complexe et urgent qui néces-site une intervention Ilne vous reste plus que quelque heure pour candidater à la pré-sélection organisée par le département de la Somme. Le recrutement Lepaiement doit être fait au créancier ou à la personne désignée pour le recevoir. Le paiement fait à une personne qui n'avait pas qualité pour le recevoir est néanmoins valable si le créancier le ratifie ou s'il en a profité. Le paiement fait à un créancier dans l'incapacité de contracter n'est pas valable, s'il n'en a tiré profit. Site De Rencontre Au Cameroun Gratuit. Points clés à retenir - Le télétravail a montré qu’il pouvait fonctionner sur courte période, et c’est une leçon importante. Mais ses gains et son efficacité restent à démontrer sur longue période. - Le télétravail pourrait être un remède pire que le mal s’il venait à être utilisé pour de mauvaises raisons. C’est un outil, le cœur du changement réside dans la gestion des La valeur de l’immobilier ne se résume plus à des m² , mais réside dans la capacité d’un immeuble à faire que les équipes travaillent mieux qu’ailleurs- La mise en place du télétravail se fera progressivement et les entreprises qui envisagent de l’appliquer massivement sont des exceptionsC’est entendu, tout le monde va passer au télétravail. Après tout, ses vertus ne sont-elles pas évidentes ? Jean-Claude ne sera plus là pour distraire tout le monde avec ses blagues intempestives. Et puis qui voudrait encore passer 1h30 dans les transports tous les jours ? Enfin, et non des moindres, qui ne veut pas apparaître moderne » ?Venons-en aux vertus de ce mode de travail. Sujet glissant tant le débat se prête à des points de vue caricaturaux entre les pro » et les anti » et laisse peu de place aux faits, faute d’études et de recul. Mais on peut dire sans trop de risque de se tromper que chaque système a ses avantages et ses défauts. Or en l’occurrence nous ne connaissons pas encore ceux du télétravail sur longue période. Faut-il opposer le présentéisme » au télétravail ?Selon un sondage IFOP[1] - BNP Paribas Real Estate, avec un taux d’approbation de 80%, la principale répercussion d’un recours massif au télétravail serait de voir les salariés en télétravail adapter leur temps de travail à leur charge réelle de travail ». Autrement dit, le télétravail aurait pour principale vertu de nous débarrasser du présentéisme ». Mais rien n’indique que le télétravail résoudrait ce problème à lui tout seul. N’oublions pas que le télétravail est un simple outil ; tout dépend de l’usage qu’on en fait. Et gare aux apprentis experts qui récemment munis d’un marteau voient des clous partout ! Car mal utilisé le télétravail pourrait empirer la situation. Les outils informatiques peuvent renforcer la surveillance des salariés par l’employeur, ou créer un cercle vicieux où les employés se sentiraient obligés de montrer » leur engagement en travaillant à toute heure. Les répondants semblent donc confondre le symptôme et la causeMal employé, le télétravail pourrait bien être le fossoyeur de la culture d’entrepriseLes répondants dans ce sondage sont par contre plus lucides, selon moi, quant au risque d’un télétravail appliqué massivement à 59% ils jugent vraisemblable que les télé-équipiers ne seront pas sensibles à la culture de l’entreprise ». Alors même qu’ils sont 71% à juger cette condition peu souhaitable. Si comme moi vous pensez que la culture d’entreprise est un élément clé de sa réussite, la perspective du télétravail s’avère peu engageante. Sans oublier l’importance du lieu de travail pour les nouveaux talents, la créativité, le lien social, la marque. A ce sujet je vous invite d’ailleurs à lire le très bon billet de Guillaume Poitrinal Pourquoi je suis de retour au bureau ».Le changement se fera progressivement, et cela fait toute la différence entre une révolution et une évolutionFermez le ban, il n’y a rien à voir ? Non, ça serait trop facile. Après deux mois de confinement où le télétravail a permis la continuité de bon nombre d’entreprises, ce serait faire preuve de cécité que de refuser d’analyser ce deux mois de confinement où le télétravail a permis la continuité de bon nombre d’entreprises, ce serait une erreur de refuser d’analyser et de comprendre ce y a fort à parier qu’une évolution, quelle que soit son amplitude, se fasse graduellement. Les plus sceptiques pourraient même rappeler que cela fait vingt ans que le télétravail devait s’imposer du jour au au-delà de la survenance ou non du télétravail dans nos vies, rappelons qu’en matière d’immobilier, le temps long prend toute son importance. Les changements se font graduellement. Et c’est tant mieux car c’est précisément ce qui rend l’immobilier intéressant aux yeux des investisseurs, le temps long, cette denrée rare !Apprenons des erreurs des autres l’immobilier ne se résume pas à des m² , mais à une solution fournie à un clientLe monde tertiaire a changé depuis 2008 des tiers lieux et des opérateurs de co-working ont émergé Morning Coworking, Deskeo, etc., des outils de collaboration en ligne efficaces se sont généralisés, et une nouvelle génération de collaborateurs est arrivée avec des attentes industrie n’est immunisée contre le changement, la fameuse disruption »[ . Rappelons-nous que des industries entières regrettent d’avoir nié l’impact du digital. La musique et la presse par exemple, qui ont confondu le support qu’elles faisaient payer au client et l’usage qui apportait de la valeur au client. Dans l’immobilier c’est un peu pareil si on voit le bureau comme un simple cumul de m² à facturer, il perdra de sa valeur, car le m² n’est pas la valeur apportée au client. La valeur d’un immeuble réside dans la capacité à offrir un espace où les équipes collaborent mieux qu’ailleurs et notamment mieux qu’en ligne. Le bureau n’est plus le seul lieu où peut se produire un travail, c’est un fait. Mais cette fonction ne disparaît pas pour autant. Et les autres fonctions de l’immobilier prennent une importance nouvelle les rencontres, l’image, les relations informelles qui mettent de l’huile dans les rouages. Autant de fonctions que le télétravail ne saurait remplir facilement. Sans oublier les coûts cachés pour gérer cette organisation nouvelle ex sécurité informatique.Pour 94% des directeurs financiers, le recours au télétravail sera marginal ; d’autant moins que les gains financiers s’avéreront sûrement inférieurs à ce qu’ils imaginentMcKinsey s’appuyant sur les chiffres du Gartner Group a mené une étude[2] auprès des directeurs financiers. Leur point de vue est déterminant lorsqu’il s’agit de décisions immobilières. À la question quel pourcentage de votre personnel passera en 100% télétravail après l’épidémie parmi le personnel qui ne l’était pas déjà auparavant ? » o 53% des directeurs financiers estiment que cela concernera entre 0% et 5% de leur personnel o 25% d’entre eux tablent sur 10%o 17% anticipent que cela vaudra pour 20% des final, 6% des entreprises pensent que cela concernera 20 à 50% de leurs effectifs, voire plus. Certes, cela compte, mais rien, que le marché immobilier ne sache absorber dans la durée. Surtout lorsqu’on sait que le taux d’occupation des bureaux était de 95% dans la plupart des grands marchés immobiliers en France avant la crise. Soit un taux de vacance très faible, quasiment incompressible du fait de la viscosité » du qu’une question n’est pas abordée par cette enquête le calcul financier. Mettre tous ses salariés en télétravail est séduisant pour un directeur financier qui imagine réduire les charges immobilières liées à ses bureaux. Seulement, la direction Ressources Humaines viendra lui rappeler les obligatoires négociations qui vont avoir lieu avec les syndicats ou représentants du personnel quant à l’indemnisation des salariés en télétravail prise en charge financière du bureau à la maison, du matériel informatique, de l’imprimante, des frais d’électricité, d’accès internet. On peut donc penser que les premières intentions des directeurs financiers, qui sont sommes toutes timides, seront encore tempérées par les coûts cachés. Les besoins immobiliers ne devraient pas tant baisser que connaître une redistribution. Alors bien sûr une redistribution, ça compte aussi, et certains marchés souffriront alors que d’autres gagnent. Mais ce n’est jamais que la vie normale des affaires.[1] Les participants mettent en avant la force engendrée par la mise en commun de compétences variées et complémentaires. Il est question des approches, des idées et des pistes auxquelles ils n’avaient pas pensé et que les collègues leur donnent, ou qu’eux-mêmes transmettent à leurs collègues. Travailler en équipe, ça donne beaucoup plus d’idées. Ça permet de confronter tes méthodes de faire, tes idées, tes façons de réfléchir. Puis ça permet aussi d’augmenter ce qu’on est capable de faire. C’est sûr qu’à plusieurs on peut faire beaucoup plus qu’à seul. [ES3 43;43] Ils expriment l’enrichissement amené par le regard extérieur et objectif que les pairs portent sur la situation dans laquelle on manque d’outils, ou encore lorsqu’on n’a plus assez de recul. Oui, puis la richesse du regard de quelqu’un qui est pas dans tes bottines et dans tes lunettes, ça c’est intéressant. [CP2 96,98] Chacun s’enrichit par ce que lui amène l’autre … Alors les effets d’être associée avec les enseignants, c’est qu’ils me connaissent, je fais partie de leurs projets. Je ne suis pas que la directrice qui donne des diplômes ou qui dispute quelqu’un. C’est les autres qui me font grandir et c’est moi par l’apport que je leur donne. [DS1 30;30] Chaque membre amène les compétences qui lui sont propres et élargit ainsi les compétences individuelles des autres membres. La combinaison de toutes ces compétences réunies et de leurs interactions améliore la connaissance globale de la communauté le tout est plus que la somme des parties. … cette synergie-là qui est créée par l’équipe, ce que j’appelle le 1+1=3 », bien tout le monde peut en profiter. Et ça les gens le savent et c’est la raison pour laquelle ils sont si généreux. [PC2 32 32] La pratique Les participants parlent de la pratique sous plusieurs aspects  l’amélioration continue  la fluidité des savoirs  la production de ressources communes  les apprentissages concrets sur le terrain- concrétisation des apprentissages Amélioration continue Si l’amélioration continue qu’amène le travail en CAP est perçue comme un cheminement pédagogique commun [DP4 90;90] » par de nombreux participants, ils identifient toutefois son appropriation sur différents plans  Sur le plan organisationnel amélioration de la planification, du rendement de travail, anticipation, gain de temps, meilleure structuration des programmes, clarification de la structure, des objectifs et des rôles. Ce que ça donne de plus dans notre cas, c’est un programme qui est plus intégré, un programme plus solide, mieux construit, qui tient compte de toutes les disciplines …. [EC1 43;43]  Sur le plan pédagogique utilisation plus adéquate et meilleure compréhension des approches, comme l’évaluation des élèves par exemple, feedback de ce qui se passe en classe par les pairs, unification des objectifs. Le plus important pour moi, c’est quand je m’aperçois l’impact que la communauté de pratique a sur les pratiques d’enseignement des enseignants ….Quand je m’aperçois que les profs connaissent beaucoup mieux les démarches à caractère scientifique, comment les mettre en œuvre, l’approche par projet, par exemple, ils connaissent c’est quoi aussi et comment mettre en œuvre l’approche, c’est beaucoup plus clair dans leur tête et on voit dans la planification les situations qu’ils font auprès des élèves que c’est mieux structuré, c’est mieux fait, ils sont capables de justifier le pourquoi ils ont choisi telle démarche ou telle approche et de discuter des apports et des limites, de nous amener des questionnements aussi au groupe, alors là je vois vraiment que les enseignants ont fait un bon bout de chemin par rapport à leur pratique d’enseignement … [CP1 60;60] Ensuite de ça, travailler en équipe avec les enseignants a assurément un impact sur leurs pratiques en classe et sur l’accompagnement des enseignants. Souvent, on allait observer une période ou un après-midi quand il y avait des élèves plus difficiles et suite à ça, on faisait des commentaires et des recommandations que le prof ne peut pas voir quand il s’occupe de 28 amis. Ça les aide à implanter certaines mesures et de notre côté on peut créer des outils … [PP2 30;30]  Sur le plan relationnel facilitation des liens, facilitations des contacts et du réseautage, meilleure connaissance de ce qui se passe dans les autres classes, amélioration du climat de l’école. Par rapport à mes rapports avec les enseignants, avec l’équipe, c’est certain que quand on travaille avec quelqu’un, on apprend à mieux le connaître. C’est beaucoup plus facile après d’interagir avec cette personne-là. Sur le climat de l’école aussi, ça donne un climat qui est vraiment meilleur parce que quand on a un défi comme ça de travail d’équipe, on dirait qu’on travaille tous dans la même cause. Ça devient intéressant, on est motivés, on a le goût d’être là, on échange donc ça devient vraiment, vraiment agréable. Le climat de l’école est encore meilleur. [ES3 29;30]  Sur le plan intellectuel passage d’une pratique intuitive à une pratique plus conscientisée, examen en détail et analyse des concepts, ouverture à de nouvelles techniques et technologies et à de nouvelles pratiques. … Dernièrement, j’ai vu quelque chose que je ne connaissais pas, c’est un logiciel qui s’appelle Mouse Cheese ». C’est avec des souris sans fil qui sont branchées et dont l’élève se sert pour répondre à des questions sur le tableau blanc interactif à leur place. C’est une enseignante qui n’est pas une adepte de l’informatique qui s’est approprié ça. Donc ça, à ce niveau-là, je m’aperçois qu’il y a un grand cheminement qui a été fait. [DP2 141;141] En fait, je m’appuie sur des fondements didactiques qui sont plus solides, plutôt que sur mon intuition parce que, par exemple pour accompagner les enseignants. Depuis quatre, cinq ans c’est un gros, gros changement au niveau du rôle. … [CP1 65;65]  Sur le plan professionnel amélioration de la confiance et du sentiment de compétence, passage de la perception de l’évaluation du sommatif au formatif. … il y a deux ans, une équipe ne fonctionnait pas bien. Il n’y avait pas de lien de confiance au sein de l’équipe, il n’y avait pas de respect, pas d’entraide ou de collaboration. J’ai pris un temps d’arrêt avec l’équipe. …. Donc, ça a été de faire une petite réorganisation, la semaine suivante, lorsque j’ai rencontré l’équipe à nouveau. On ne parlait pas de résultats d’élèves, c’était pas important. Aussi, je leur avais apporté une lecture par rapport à la confiance et la collaboration. … À partir de ce moment-là c’est devenu une équipe très, très productive. Pour moi ça a été un moment important afin qu’une équipe fonctionne bien et qu’ils développent, à nouveau, leur confiance. [DP4 84;84] La notion d’évaluation entre dans le discours des participants à ce niveau de la pratique. Ils relèvent une évolution du mode de pensée les craintes liées à l’évaluation de la pratique sont dépassées à travers l’expérience de la CAP. Le conseiller pédagogique est ici perçu comme une ressource aidante, un guide et non plus un expert qui juge qui peut aider à donner du sens aux actions professionnelles par la valorisation de chacun. Moi j’pense que les enseignants ont souvent senti qu’ils devaient avoir la bonne réponse du premier coup. … faut montrer que, dans le fond, les erreurs sont des petites erreurs, parce qu’on sait bien que ça se répare très facilement, qu’on peut faire des choses puis que les p’tites erreurs du début peuvent être corrigées et améliorées, ça fait partie de l’apprentissage, que maintenant ils ne sont pas juste des déverseurs de savoirs, mais qu’ils travaillent auprès de l’élève et qu’ils cherchent à les faire grandir eux autres aussi, qu’ils participent à l’apprentissage des élèves, ça c’est difficile … [EP1 81;81] Fluidité des savoirs Partager ses connaissances et les faire circuler sont des actions caractéristiques significatives de la CAP relevées dans le discours des participants. C’est là qu’on partage nos succès, nos inquiétudes, qu’on apporte nos propos des nouvelles technologies et qu’on discute des nouvelles approches à intégrer dans nos salles pour s’assurer de maximiser l’apprentissage des élèves. Donc on regarde nos défis et nos réussites et on essaie beaucoup d’échanger sur ce qu’on fait dans nos cours pour partager nos approches. [ES5 7;7] Selon eux, le fait d’ouvrir ses connaissances aux autres et de rendre fluide leur circulation au sein de la communauté rend possible leur transposition aux pratiques et leur application aux tâches professionnelles de chacun. Je pense que les bienfaits, c’est vraiment la mise en commun de façons de faire. Ne pas rester cloîtrés dans sa classe avec ses pratiques. Donc c’est un partage. Nous ça nous permet de dire, bon, toi tu en es rendu où, on s’en va vers quoi d’ici la fin de l’étape, en quoi tes élèves ont des problématiques, qu’est-ce qu’on pourrait faire pour les aider, donc c’est vraiment un partage des connaissances et des pratiques. [EP4 24;24] … je dois amener certains résultats de la recherche, je dois amener les savoirs de la recherche, c’est ma responsabilité d’amener un peu ces savoirs-là, ces résultats de la recherche-là et de les croiser avec les savoirs de la pratique pour construire quelque chose, des solutions meilleures pour améliorer les pratiques d’enseignement et la réussite chez les élèves. … [CP1 65;65] La diffusion et la mise en commun des façons de faire établissent une cohérence d’intervention qui simplifie le fonctionnement scolaire. Ça [le travail en communauté] permet de faire circuler l’information, ça permet de créer des choses parce que souvent c’est une idée de quelqu’un qui fait qu’on améliore les choses. [DC1 27;27] Les nouveaux enseignants sont accompagnés par l’équipe et bénéficient de son expérience. On y gagne en efficacité, on peut se baser sur les réflexions des autres. Les nouveaux concepts, les méthodes didactiques sont autant d’exemples des savoirs transmissibles et intégrables à la pratique en classe. Nous on a parti une communauté de pratique avec une dizaine d’enseignants et d’orthopédagogues où on a enseigné justement ces principes-là, des principes didactiques, comment intervenir auprès des élèves à risque et les enseignants ont intégré ces principes-là dans les situations qu’ils avaient à enseigner auprès des élèves, des situations qui permettent de plus développer le potentiel …. [CP1 74;74] En fait ils ont accès à de l’information beaucoup plus construite parce qu’en arrière de moi, il y a un réseau qui y a réfléchi. … je peux me baser sur ce qu’ils ont fait aussi, et ça c’est gagnant parce que quand je viens pour proposer des nouveaux projets ou des nouvelles idées, bien si quelqu’un de ma communauté l’a fait avant moi, je peux voir venir les questions, les hésitations et les freins aussi, alors je peux mieux y répondre. Quand on a des questions et on se heurte à un problème, bien plutôt que de chercher sur tout le web au complet, je cherche auprès de ma communauté et leur dire par exemple que tel prof de socio a un problème, qu’est-ce qu’on fait avec ça. …. C’est sûr que ça a un impact sur sa pratique parce qu’on a accès à des gens spécialisés de partout. [PC1 36;36] L’urgence sanitaire nous fait réfléchir profondément à l’importance des relations. La mise en réseau des connaissances et des expériences des autres est la base essentielle pour créer de la qualité et donner des réponses aux clients et aux professionnels. En élargissant les horizons, en abandonnant les préjugés – sans oublier une touche d’optimisme – nous comprenons qu’il n’y a pas de crise mais une une entreprise, la mise en réseau signifie savoir créer et gérer un réseau de relations fonctionnel aux besoins et demandes des clients. Lorsque le réseau est solide et que les relations sont conscientes et empreintes de confiance mutuelle, cela signifie que l’entreprise est bien structurée, flexible et capable de lire le milieu environnant, sachant vivre son propre valorisation de son capital relationnel devient donc un instrument d’innovation. Elle se caractérise par la volonté d’acquérir une connaissance de l’environnement extérieur afin de maintenir en bonne santé le propre ensemble de relations de l’entreprise avec le talent, on gagne des matchs, mais avec le travail d’équipe et l’intelligence, on gagne des championnats ». Même en sortant de la métaphore sportive, la capacité de coopérer, d’unir ses forces, en pratique de se mettre en réseau – acquiert une valeur, surtout dans un contexte comme celui dans lequel nous sommes depuis des parties prenantes – un réseau d’alliances à long terme basé sur la confiance avec les fournisseurs, les clients, les financiers, les employés, mais aussi les groupes d’intérêt – est un grand avantage difficile à imiter pour un concurrent. Un réseau conçu de cette manière assure la flexibilité, mais il constitue en même temps un solide point de référence pour la formation et l’apprentissage dans des domaines différents mais liés… et il permet également de se tenir au courant des évolutions technologiques dans les différents réseau est également la capacité de créer un réseau de relations professionnelles qui se maintiennent dans le temps grâce auquel vous pouvez échanger des idées, des conseils, des informations et des et la connaissance sont donc dans un cercle toujours soutenu la recherche inspirée par l’étude de la façon dont le consommateur vit et rêve réellement l’expérience de la Beauté et du Bien-être et je suis convaincu que pour créer des solutions cosmétiques innovantes et satisfaisantes, l’exploration et l’échange mutuel sont est également bon de regarder au-delà des pratiques commerciales traditionnelles pour renforcer le rôle et la responsabilité de la Beauté dans la société contemporaine, ce qui est une véritable opportunité pour ceux qui veulent changer de perspective et cesser d’attendre un passé qui ne reviendra pourquoi je suis favorable au réseau d’entreprises en tant que ressource primaire pour le développement intelligent. Et pour le maintenir, nous avons besoin d’un regard qui puisse regarder tout », à Beauty tout court, pour en tracer les lignes directrices et se rapprocher de son concept le plus pur, son la chance de pouvoir compter sur un groupe de partenaires qui partagent les mêmes valeurs et idéaux que moi. C’est avec une vision pionnière que nous sommes capables de développer des projets responsables et avancés dans le monde de la Beauté. Les projets que nous réalisons en équipe sont le chemin sur lequel les intuitions et les connaissances de nos collaborateurs s’épanouissent, tous ensemble dans la même direction. Et à chaque demande du marché, nous avons une solution immédiate et globale avec une gamme de propositions allant des produits certifiés Halal, Vegan, Bio aux compléments alimentaires, aux cosmétiques pour enfants, aux animaux de compagnie et au monde du spa …Toutes nos actions sont orientées vers la recherche anthropologique et relationnelle, grâce à laquelle nous pouvons identifier les entreprises capables de répondre avec des formulations de informé des prochains articles et initiatives Cette citation de Confucius Le tout est plus grand que la somme des parties. , fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Confucius. Qui est Confucius ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Confucius est né le 28 septembre 551 av à Zou qi est l'ancienne province de Shandong, en Chine. C'est un philosophe chinois qui a beaucoup marqué la civilisation chinoise. Il est considéré comme étant le premier éducateur de la citation parle de grand, somme et parties. Notre dictionnaire de citations vous propose plus de citations triées par thèmes et par auteurs. Faites ci-dessous une recherche sur un mot clé ou sur une expression entière. Vous pouvez également choisir de consulter nos meilleures citations classées grâce aux votes des internautes. Partager cette citation Vous trouverez ci-dessous des illustrations de cette citation de Confucius que vous pouvez facilement télécharger ou publier directement sur vos réseaux sociaux préférés tels que Facebook, Twitter, Instagram ou Pinterest. Citations similaires Dans les citations ci-dessous vous trouverez des citations similaires à la citation de Confucius Le tout est plus grand que la somme des parties., contenant les termes grand, somme et parties. Voir d'autres citations d'auteurs Découvrez des centaines d'auteurs célèbres et toutes leurs citations célèbres. Aristote Cédric Klapisch Elisabeth BADINTER Eugène Cloutier Frédéric Boyer Gustave Le Bon Henri de Régnier Jean Dion Jean DUTOURD Oscar Wilde Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux Thomas PIKETTY Rechercher une citation Il n’existe aucune entreprise générale de la construction en économie sociale. Pas une seule. Pourtant, de nombreuses entreprises d’économie sociale sont actives dans le domaine de la construction. Chacune à son ou ses activités principales. Chacune son domaine. Pour mener un chantier, avoir un seul interlocuteur pour gérer et mener tous les corps de métiers, toutes les compétences, c’est plus facile. Sans cette dimension globale, on perd en force de frappe. En capacité de répondre à une des préoccupations des clients réduire les tracasseries et augmenter l’efficacité. Si des entreprises de l’ES veulent répondre à une demande complète, elles doivent s’associer en amont. Puis seulement répondre à la demande. C’est compliqué. Ça prend du temps. • Du temps qui n’est pas rémunéré. • Du temps investi sans garantie de résultats. • Du temps sans perspective. SAW-B a essayé à plusieurs reprises de mettre en place des collaborations entre les entreprises. Parfois, ça marche. Pour des chantiers Renowat, des entreprises classiques et des entreprises de l’économie sociale se sont associées pour répondre à des marchés de service. Avec de beaux succès. Parfois, ça ne marche pas. C’est là qu’Alain Klinkenberg des Ateliers du Monceau est venu trouver nos collègues Laurent et François. La question de départ, comme pour toute entreprise comment répondre aux besoins des clients, du marché ? Alain a proposé quelque chose de simple. D’inédit dans l’économie sociale. Créons une entreprise générale de la construction. Super idée ! Toujours prêt à se lancer dans les challenges, nous avons sauté sur l’occasion. A une seule condition, non négociable et non négociée. Cette entreprise doit être vectrice de coopération et de collaboration entre acteurs de l’économie sociale. Cette entreprise doit être un plus et pas être un concurrent. Laurent et François activent leur réseau et rassemblent en octobre 2020 des entrepreneurs sociaux du secteur de la construction. Pour partir sur des bases les plus saines possibles, Alain présente les forces et les faiblesses d’un précédent projet mené avec des ETA. Le COVID vient perturber les plannings. A la rentrée 2021, nouvelle réunion. Une quinzaine d’entreprises sont prêtes à se lancer. SAW-B, comme fédération, et comme facilitatrice clauses sociales, est gestionnaire du projet. Tout le monde s’active et le groupe décide de se lancer concrètement. Objectif travailler sur un premier chantier. Un architecte est prêt. Il fait confiance aux entreprises. L’enjeu est élevé mais c’est aussi cela qui anime les entreprises d’économie sociale. Parallèlement, SAW-B sollicite la Région wallonne pour donner un coup de main. Elle répond positivement et débloque des fonds pour rendre le projet concret. Tout le monde est sur la ligne de départ. La concrétisation est en marche. Quelles chances de réussite ou d’échec ? Vous êtes curieux de savoir comment ce premier chantier va se passer ? Vous êtes curieux de voir si les acteurs vont réussir à développer une entreprise générale de la construction en économie sociale ? Abonnez-vous à notre newsletter et retrouvez notre feuilleton régulièrement ! Joanne Clotuche – ]

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